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Le sept cent vingt-cinquième numéro d’Apostrophes, 2013

« Alain Bernard Marchand a été finaliste du Prix des lecteurs de Radio-Canada pour son roman Le sept cent vingt-cinquième numéro d’Apostrophes.  Un roman comme il ne s’en est jamais écrit.  Les 160 pages relatent la 725e entrevue réalisée fictivement pour Apostrophes (qui n’en a eu que 724 avant d’être remplacée par Bouillon de culture). Ni le nom de l’auteur ni celui de l’invité ne sont mentionnés, mais on devine assez rapidement que l’invité n’est nul autre qu’Alain Bernard Marchand.  Bernard Pivot aurait mieux fait de le convier à Apostrophes plutôt que de recevoir Denise Bombardier.  Nombre de ses propos sont tout simplement dignes d’un Grand Dictionnaire des citations littéraires. »

Paul-François Sylvestre, L’Express

« L’exercice de mémoire auquel s’est consacré Alain Bernard Marchand est de la haute voltige littéraire, l’éclectisme des lectures et des auteurs évoqués en faisant foi. »

Jean-François Crépeau, Lettres québécoises

Chants d’un autre siècle, 2012

« Dans l’ouvrage de Marchand, ce sont une cinquantaine de brefs poèmes-récits qui se déploient sous le fil temporel de la chanson populaire.  L’intérêt indéniable du recueil se situe dans sa façon de poser l’écriture en relation avec une mémoire intriquée des sphères individuelle, sociale et. évidemment, culturelle »

Sébastien Dulude, Lettres québécoises

Jours inouïs, 2011

« Dans Jours inouïs, Alain Bernard Marchand excelle à évoquer la magie d'un lieu. Chaque poème est une invitation à partager avec le poète l'intime beauté de ses voyages en des lieux lointains ou familiers. Chaque page offre un instantané d'éternité. »

Andrée Lacelle, Un instant, un livre

« Ces poèmes au rythme sûr et aussi précis que l'élan même de l'horizon qui recouvre les limites du regard viennent enhardir le silence du réel qui se dépêche en chaque jour de l'existence. »

Jean-François Leblanc, Québec français

Lettres d'un cracheur d'étoiles , 2004

« Il est des écrivains qui gardent en eux des mots qu'ils reprennent dans leurs livres, et qui nous font voir le monde de si haut que nous nous sentons légers. Lettres d'un cracheur d'étoiles est à lire et à relire. Pour la densité poétique et la mystérieuse alchimie du verbe et des sens. »

Suzanne Giguère, Le Devoir

« Le roman d'Alain Bernard Marchand ne ressemble à rien de ce qui se publie dans ce genre littéraire. Il adopte une approche on ne peut plus originale qui a le mérite de nous démontrer à quel point « le jour qui va entre dans la mémoire et éclaire le jour qui vient ». »

Paul-François Sylvestre, L'Express

« Bref, c'est par une brillante réflexion sur le passage du temps entrevu comme un cycle de mort et de renaissance sans fin que s'inscrit le dernier-né de Marchand dans la suite de son œuvre. »

Claudia Labrosse, Liaison

« Dans les Lettres d'un cracheur d'étoiles, Alain Bernard Marchand trouve le moyen d'innover sans faire aucune concession au formalisme de naguère. (...) Petit livre du rien, d'un rien égal à tout. Il affirme que la merveille existe, et que l'écrivain « sera peut-être votre légende ». »

André Brochu, Lettres québécoises

Genet le joueur impénitent , 1997

« Travail plus « sérieux » que Tintin au pays de la ferveur, ce deuxième essai d'Alain Bernard Marchand intéressera tout autant les gens de théâtre que les amateurs de Genet, le critique faisant bon ménage avec l'essayiste. Tintin était un prétexte à l'écriture, dont on s'arrache pour s'envoler, un voyage sur les ailes du désir; Genet demeure ici davantage un objet d'analyse, dont on fait le tour comme pour en finir avec une vieille passion. »

Robert Saletti, Le Devoir

« Cet ouvrage impressionne par l'érudition de son auteur et par la clarté avec laquelle il interprète l'œuvre de l'un des écrivains les plus complexes du théâtre contemporain. Car c'est de l'œuvre de Genet qu'il s'agit ici, l'essayiste ayant résisté, contrairement à Sartre, à la tentation de commenter la vie du légendaire marginal de la dramaturgie française, pour centrer sa réflexion sur l'importance du rôle dans des pièces comme Les Bonnes ou Les Paravents. »

Claude Rochon, Zone

« Alain Bernard Marchand, qui a une connaissance approfondie du corpus genétien, ne se limite donc pas au théâtre mais trouve dans toute l'œuvre les indications du jeu de rôles. Bien que savante, son étude est passionnante pour qui s'intéresse à Genet ou à la théâtralité poussée à son extrême. »

Raymond Bertin, Voir

« Il fait bon de lire une analyse d'une telle acuité et où pourtant se révèle un si constant souci de clarté et d'intelligibilité... pour qui consent à se prêter à la lecture d'un ouvrage spécialisé. »

Sylvie Bérard, Lettres québécoises

« Marchand donne un souffle nouveau à la compréhension et à l'appréciation d'une œuvre qui n'a pas cessé d'en laisser plus d'un perplexe. »

André Levasseur, L'annuaire théâtral

Le Dernier voyage , 1997

« Son dernier recueil de récits s'intitule Le Dernier voyage. Cependant, qu'on ne s'y trompe pas: nul voyage n'est plus exaltant que le dernier, qui dure le temps d'une vie et qui est fait, justement, de toutes ces sensations inscrites au fil des jours dans le corps et dans le cœur. La voix du poète se fait entendre à travers ces récits, dont la brièveté ajoute pourtant à l'ampleur des émotions suscitées. »

Chantal Turcotte, Zone

« Quelques phrases suffisent à l'auteur pour élaborer des images frappantes. Des souvenirs, des personnes, des réflexions, des anecdotes remplissent ces quelques lignes, pas plus d'une dizaine par page. Une petite plaquette qui non seulement se lit bien, mais invite à la réflexion. »

Martin Francœur, Le Nouvelliste

« Quel que soit l'ouvrage publié par Alain Bernard Marchand, la critique semble toujours unanime : on est en présence d'un style sobre, d'un langage dépouillé, d'une belle simplicité, d'une écriture exigeante. Il s'agit d'une marque de commerce pour cet auteur qui cherche à dire le moins pour exprimer le plus, qui élague et réécrit pour atteindre la quintessence des mots. »

Paul-François Sylvestre, Liaison

« Des récits d'Alain Bernard Marchand jaillit une poésie de la mémoire des petites choses qui marquent le chemin de pierres blanches, grises ou noires. Un chemin qui mène aux étoiles.»

Gilles Crevier, Le Journal de Montréal

« Textes donc à lire doucement, tranquillement, sans bruit de peur de les briser comme du verre tant ils paraissent fragiles, évanescents, légers. Alain Bernard Marchand est vraiment un excellent écrivain. »

André Roy, Village

« Il existe quelque chose de précieux dans ce livre très simple.»

David Cantin, Le Devoir

« La plume de Marchand est l'une des mieux ciselées en Ontario; pas étonnant qu'il ait été finaliste au prix Trillium 1995 et colauréat l'année suivante. Avec une économie de mots, il réussit à brosser des portraits captivants. »

Paul-François Sylvestre, Liaison

Tintin au pays de la ferveur , 1996

« Son écriture, belle, savante et émouvante, fait de cet hommage à Hergé une œuvre en soi, qui inspirera sans doute à son tour le désir de lire, de créer, de se perdre dans le monde et surtout, de vivre intensément. »

Chantal Turcotte, Zone

« Alain Bernard Marchand le dit bien et sobrement, dans une prose simple à l'abri de toute préciosité : le voyage n'est que la conséquence du départ, comme la vie n'est que le résultat du rêve. »

Robert Saletti, Le Devoir

« Baroque et composite, à la fois essai et récit autobiographique, un peu désordonné, son livre s'avère extrêmement touchant puisque, justement, Marchand réussit à nous faire partager sa ferveur, "qui ne tient peut-être qu'à l'audace qu'il faut pour continuer à s'émouvoir". Et malgré ses dénégations, il s'agit d'une excellente analyse de Tintin! »

Denis Lord, L'actualité

« Par ce livre, Alain Bernard Marchand nous fait comprendre que lire et écrire ne sont pas tant des moyens de s'échapper de la réalité quotidienne que des outils puissants qui nous permettent de façonner et d'enrichir notre vie intérieure. »

Parth Bhatt, Liaison

« Le mérite de Marchand dans son interprétation réside notamment dans la judicieuse insertion de ses expériences de lecteur au fil des réflexions littéraires qu'il développe. Véritable amoureux de Tintin, il pose un regard critique sur la relation intime avec ce héros qui lui a appris à voyager.»

Éric Falardeau, Québec Français

« Le ton intimiste de Marchand a même, ici et là, des accents de gravité qui peuvent surprendre, étant donné le point de départ du livre. Mais l'écriture est très sûre, chatoyante même, sauvant dès lors le texte du piège de la sensiblerie. Tintin au pays de la ferveur est un essai de poète, tout de sensibilité et de finesse, ponctué de réflexions rafraîchissantes. »

Robert Chartrand, Lettres québécoises

« Chez Marchand, l'écriture et les voyages sont nés de cette solitude d'où émerge une sorte de ferveur. L'écriture y est étincelante. »

Diane Noël, L'Hebdo du Saint-Maurice

L'homme qui pleure , 1995

« Ce premier roman le situe derechef dans le camp des auteurs à suivre. Souhaitons donc à Alain Bernard Marchand de vite trouver le public averti qu'il mérite. Il serait dommage que l'écriture exigeante, savante même, qu'il pratique, ne trouve pas bientôt lecteur. »

Hervé Guay, Le Devoir

« Le roman d'Alain Bernard Marchand dévoile la blessure de vivre et l'énigme de tout amour dans une existence qui nous échappe. Il faut lire lentement ce livre superbement écrit dans une langue intense, belle, inouie de richesse et de finesse. »

André Roy, Fugues

« Ce roman se lit d'un trait, non pas poussé par la soif de connaître le dénouement final, mais plutôt parce qu'on reste aimanté au texte, à la structure invisible qui nous embarque à notre insu. Le rythme est ainsi voulu, progressif, comme une espèce de mantra qui conduit le lecteur à son propre pèlerinage. »

Diane Noël, L'Hebdo du Saint-Maurice

« L'Homme qui pleure est un roman généreux qui déploie toutes les facettes du discours amoureux avec une rare puissance d'évocation.»

Paul-François Sylvestre, Liaison

C'était un homme aux cheveux et aux yeux foncés , 1992

« Dès sa première fiction, Marchand livre au lecteur une part d'intimité redoutable, dans un style d'une belle sobriété. »

Hervé Guay, Le Devoir

« Un récit sans fioritures, sans vocabulaire recherché, qui se lit en une demi-heure. Et pourtant, tout y est : voici un texte dense, riche dans son dépouillement, gorgé de sensations furtives, d'émotion retenue, montrant deux personnages, deux hommes oscillant entre la froide indifférence et la sensualité exacerbée. »

Raymond Bertin, Guide Mont-Royal

« Ces mots qu'on crie fort dans notre tête et qui perdent toute leur signification lorsqu'ils sont prononcés, l'auteur les rend très bien. Aussi, la force poétique de ces précieux passages, liée au léger mystère qui entoure l'intrigue amoureuse, donne assez de puissance et mérite à ce petit livre pour qu'on s'y abandonne. »

Suzanne Côté, Lettres québécoises

« Compte surtout ici l'écriture. Alain Bernard Marchand a su trouver un verbe sobre et précis, qui crée à lui-même l'événement. »

Lori Saint-Martin, University of Toronto Quaterly

Entre l'œil et l'espace : le geste et le cri , 1982

« Entre l'œil et l'espace : le geste et le cri est un livre dense qu'une seule lecture ne peut cerner, ne peut endiguer totalement. Il faut sûrement parler ici de réussite étonnante – étonnante si l'on considère qu'il s'agit probablement pour ces deux auteurs d'un premier recueil–, réussite qui marque incontestablement la production poétique de l'année 82. »

Robert Yergeau, Livres et auteurs canadiens